ACTIVITÉS 9
DOSSIER
La chirurgie esthétique, un acte banal de beauté ?
Document 1
Les progrès de la chirurgie esthétique au 3ème millénaire
Longtemps représentée comme une activité révolutionnaire, la chirurgie esthétique n’en demeure pas moins critiquée par l’ensemble des personnes qui continuent de penser que rien n’est aussi beau que ce que la nature nous a donné et surtout tel qu’elle nous l’a donné. Cependant, c’est oublier tous ces enfants qui naissent avec des déformations, des protubérances qui ne leur facilitent aucunement la vie au quotidien. Nous voulons, par cette plate-forme, informer les uns et les autres sur les progrès de la science à ce niveau, sur les avantages d’une bonne chirurgie, mais également sur les risques courus.
L’évolution historique de la chirurgie esthétique dans le temps
La chirurgie plastique est un pan de la chirurgie esthétique qui traite de la reconstruction après les brûlures et autres accidents qui affectent la forme du visage, du corps, etc. La chirurgie esthétique ne date pas d’hier. En effet, on la connaît depuis le Ve siècle avant J.-C. Elle se chargeait ainsi des réparations nasales et/ou des greffes de membres. Il est évident qu’avec les moyens dont disposaient les spécialistes hindous, le résultat n’était pas toujours fameux. De même, la chirurgie reconstructrice permettait de dissimuler autant que faire se pouvait les cicatrices déplaisantes, mais les résultats n’étaient pas toujours très fameux. Au fil des années, la chirurgie reconstructrice a connu un essor à travers les techniques innovatrices qui sont nées.
La première greffe de visage a été effectuée en novembre 2005 par les professeurs Devauchelle et Dubernard qui ont procédé à la reconstruction d’une femme défigurée par un chien. Ce genre de chirurgie est plus fréquemment pratiqué et même s’il comporte des risques, les progrès qui ont été faits depuis permettent de faire confiance au corps médical. La chirurgie esthétique est également utilisée aujourd’hui pour corriger des imperfections ressenties par les patients. Véritable fontaine de jouvence, elle permet aux femmes d’un certain âge de retrouver un aspect plus jeune et une plus grande confiance en soi. La chirurgie esthétique est utilisée pour corriger les défauts, mais aussi pour redonner confiance aux personnes qui souffrent de leurs imperfections. Qu’elle soit reconstructrice, esthétique ou des grands brûlés, la chirurgie a fait d’énormes progrès, et aujourd’hui, les résultats sont beaucoup plus satisfaisants qu’auparavant. Le pourcentage de personnes satisfaites de leur chirurgie est sans cesse croissant. En effet, les seuls patients susceptibles de ne pas être satisfaits de leur opération, sont ceux qui paient pour une chirurgie esthétique. Les autres étant des accidentés, ils sont nécessairement heureux de retrouver une forme de visage normale ou l’utilisation de leurs jambes, etc. En plus, la chirurgie esthétique ne s’arrête pas seulement à reconstruire physiquement, elle reconstruit psychologiquement aussi. Ainsi, des patients retrouvent leur joie de vivre et arrivent à bien se réintégrer dans la société. Cependant, si les bénéfices d’une chirurgie esthétique sont indiscutables, les risques encourus constituent une réserve qui devrait permettre aux uns et aux autres d’avoir conscience qu’il ne faut pas abuser de cette science.
admin
12 octobre 2012
Document 2
LA CHIRURGIE RECONSTRUCTRICE ET RÉPARATRICE AU SECOURS DES VICTIMES DE LÉSIONS TRAUMATIQUES ET DE MALFORMATIONS CONGÉNITALES
Ablation d’un sein à la suite d’un cancer ? Amputation d’un doigt lors d’un accident de travail ? Déformation d’un membre pour cause de blessures ou d’infections ? Perte de tissus et de substance dans un accident de voiture ? Malformation congénitale transmise par hérédité ? Rien n’est perdu. La chirurgie reconstructrice et réparatrice se propose de reformer, remodeler et sculpter toutes sortes de mutilations ou de défigurations de ses patients qui, bien souvent, font supporter à leurs victimes un lourd fardeau psychologique ou social. Nous découvrirons, à travers cette enquête, le métier de chirurgien plasticien, la différence entre chirurgie reconstructrice et réparatrice, les lésions et malformations les plus courantes, ainsi que les techniques utilisées pour y remédier.
QU’EST-CE QU’UN PLASTICIEN ?
Comme nous l’a bien précisé le Dr Nabil Hokayem, spécialiste en chirurgie réparatrice, reconstructrice et esthétique, le chirurgien plasticien est un touche-à-tout. Son champ d’action ne se limite pas à un organe précis, mais englobe toute la partie molle du corps, ainsi que les os de la face et du crâne. La chirurgie plastique est donc la chirurgie des formes et des téguments (tissus de recouvrement). C’est très simple : l’ophtalmologue s’occupe du globe oculaire, le plasticien, des paupières. L’oto-rhino-laryngologiste s’intéresse aux maladies internes de l’oreille, du nez et de la gorge ; le plasticien restaure l’aspect externe de ces organes. Le dentiste soigne les dents ; le plasticien, les os sur lesquels elles reposent. Trois types de chirurgie plastique peuvent être pratiqués : réparatrice, reconstructrice et esthétique. Le troisième, visant à améliorer l’aspect d’une anatomie normale mais imparfaite aux yeux du sujet, ne fait pas l’objet de cette étude.
Nous nous intéressons, tout particulièrement, aux deux premiers types qui s’appliquent à modifier et corriger les conditions congénitales ou acquises troublant une fonction ou défigurant l’aspect extérieur normal.
DIFFÉRENCE ENTRE CHIRURGIE RECONSTRUCTRICE ET RÉPARATRICE
Ces deux interventions plastiques ont toujours pour but l’avenir fonctionnel et l’aspect esthétique ultérieur de la région opérée. Par conséquent, elles s’effectuent souvent en plusieurs temps.
La chirurgie réparatrice intervient pour réparer un défaut (tégumentaire ou muqueux), quelle que soit sa provenance. Nous citons, à titre d’exemple, la fente labio-palatine, déformation congénitale plus communément connue sous le nom de bec de lièvre.
La chirurgie reconstructrice tâche, par contre, de remédier à une perte d’organe ou de substance en les recréant. C’est bien le cas de l’ablation d’un sein (mastectomie) ou celle d’une partie du nez à la suite d’un cancer. De même, nous pouvons citer la perte d’un organe (oreille…) due à un accident de voiture, par exemple. Le plasticien recourt, très souvent, à ces deux types de chirurgie dans le traitement d’un même cas. Elles peuvent donc être conjointement utilisées pour les ablations cancérologiques, les malformations congénitales, les lésions traumatiques, les infections et les brûlures.
Document 3
Les inconvénients de la chirurgie esthétique
Quand bien même la chirurgie esthétique ne cesse de se moderniser, et que les techniques actuellement utilisées intègrent les dernières trouvailles en matière de recherches, celle-ci n’est pas pour autant à l’abri des risques et des complications éventuelles. D’ailleurs, les règles déontologiques obligent les chirurgiens au devoir d’informer les patients sur les éventuels effets indésirables, bien qu’ils soient minimes. En effet, les suites opératoires en chirurgie esthétique peuvent dans de rares cas entraîner des complications d’ordre physique et psychologique.
Les complications d’ordre physique d’une chirurgie esthétique
Bien que la chirurgie esthétique soit au stade de perfectionnement et de modernisation avancé, elle n’arrive pas jusqu’ici à éliminer tous les risques et complications. En dépit du respect des exigences de sécurité des patients, les éventuelles complications et les effets inesthétiques semblent n’épargner personne ayant choisi l’intervention esthétique chirurgicale. Les complications qui peuvent se produire concernant des effets indésirables sont dues à quatre raisons, à savoir : l’utilisation des produits anesthésiques et anesthésiants, l’hémorragie postopératoire, les infections et les cicatrices. L’utilisation des produits anesthésiants et anesthésiques peut provoquer des effets indésirables, dont la gravité peut aller d’une simple éruption cutanée ou d’une démangeaison légère à des complications plus graves, qui pourraient même porter atteinte à la vie des patients dans le cas de complication relative à l’anesthésie générale. Des problèmes hémorragiques peuvent également survenir pendant les étapes succédant l’opération chirurgicale. L’un des inconvénients majeurs de la pratique chirurgicale esthétique est le risque des infections, qui pourraient avoir des effets graves si les mesures appropriées ne sont pas prises à temps. Enfin, si la chirurgie esthétique permet d’obtenir des gains esthétiques immédiats et définitifs, selon les besoins tracés, elle est loin de l’aspect naturel. Ces inconvénients sont notamment perçus par les cicatrices laissées après les interventions chirurgicales. De plus, les cicatrices sont indélébiles et demeureront éternellement sur le corps des patients traités chirurgicalement.
Les complications psychologiques d’une chirurgie esthétique
Des séquelles d’ordre psychologique peuvent résulter de la pratique chirurgicale de l’esthétisme. Selon les cas qui se sont présentés, les patients peuvent être satisfaits ou non des résultats obtenus des actes chirurgicaux réalisés sur eux. Toujours est-il qu’il y a des risques que les patients tombent sous la dépendance totale et incontrôlée vis-à-vis de la chirurgie esthétique. Car en fait, faire des retouches ou apporter des modifications aux résultats obtenus requiert inévitablement une autre intervention chirurgicale, ce qui engendrera une vraie dépendance pouvant être assimilée à l’effet d’une drogue. Le risque majeur est que la femme ne puisse plus ressentir la vraie valeur de l’esthétique. Certaines femmes après s’être traitées chirurgicalement pour des besoins esthétiques reconnaissent avoir perdu beaucoup de leur estime. Les regrets et les déceptions sont parfois source de conflits internes et de troubles psychologiques.
http://www.feminmix.com/Les-inconvenients-de-la-chirurgie.html
Document 4
Les risques de la chirurgie esthétique
Fini les poitrines flétries, les rides et la culotte de cheval ! La chirurgie esthétique est aujourd’hui très perfectionnée et s’est largement démocratisée, voire banalisée. Elle n’est cependant pas un acte anodin et peut entraîner non seulement des conséquences physiques mais aussi psychologiques graves. Sans être alarmiste, on fait le point sur le vrai et le faux.
Quand le rêve se transforme en cauchemar…
Une opération chirurgicale n’est pas sans risques et peut entraîner certaines complications. Voici celles d’ordre général :
L’anesthésie. Qu’elle soit générale ou locale, l’anesthésie comporte des risques qui doivent vous être exposés pendant la consultation. Ses conséquences sont très variables, d’une simple éruption cutanée au décès.
L’hémorragie. Un saignement interne peut être causé par le plus petit effort. Si le saignement n’est pas trop important, il se résorbera par lui-même, sinon le chirurgien devra procéder à un drainage. En cas de saignement externe, si la situation persiste, le chirurgien devra sans doute rouvrir l’incision.
Une infection. Elle se manifeste souvent quelques jours après l’opération. Si celle-ci s’aggrave, il faudra hospitaliser.
Les cicatrices. Toute intervention chirurgicale laissera une cicatrice. D’un individu à l’autre, le processus de cicatrisation sera plus ou moins rapide (jusqu’à 3 ans, habituellement 6 à 12 mois) et laissera plus ou moins de traces. À l’origine fine et belle, la cicatrice deviendra rouge et irritée après environ un mois et évoluera lentement vers son stade final en devenant blanche et aplatie.
Dangers psychologiques d’une intervention
Selon une enquête de l’université de Laval, publiée par l’American Journal of Epistemology, le fait d’avoir des implants mammaires majore le taux de décès par suicide de 73 %. Cela s’explique par la fragilité accrue et la faible estime personnelle de celles qui ont recours à la chirurgie esthétique. En effet, de nombreuses femmes tireraient plus de bénéfices d’une consultation chez un psychologue que d’une intervention plastique.
Les images véhiculées par les médias suscitent des rêves irréalistes et parfois ces femmes souffrent d’une grave déception.
Souvent, de nouvel aspect physique bouleverse complètement leur équilibre et affecte la santé mentale des adeptes de la chirurgie esthétique. Surtout, il y a un risque d’addiction et certaines femmes finissent par multiplier les interventions en occultant complètement leurs dangers.
Prévenir les risques
Assurez-vous de la qualification du chirurgien. Le praticien doit détenir une autorisation délivrée par le Conseil de l’Ordre. Consultez plusieurs chirurgiens, prenez des avis différents afin d’être à l’aise et de vous sentir le mieux possible avant l’intervention.
Méfiez-vous des médecins trop pressés qui vous donnent un rendez-vous très rapide (en général, un délai d’au moins 15 jours de réflexion), ainsi que des pubs qui abondent dans la presse car la publicité est interdite dans le domaine médical, donc vous aurez affaire à des non-professionnels.
N’acceptez aucune intervention sans devis préalable. Enfin, soyez sûr de vous avant de franchir le pas et ne négligez aucun aspect de la procédure.
http://www.aufeminin.com/fich/beauty_135_13-les-risques-de-la-chirurgie-esthetique.html
Activité R-1
Préparation à l’épreuve écrite
Compléter le tableau suivant à l’aide de vos notes.
Épreuve écrite
Un journal francophone féminin souhaite traiter du thème de la chirurgie plastique (esthétique, reconstructrice et réparatrice).
Dans l’éditorial que le journal vous a demandé, vous donnez votre avis sur l’utilité ou non de cette chirurgie.
À l’aide du dossier joint et d’apports personnels, vous rédigez un texte structuré dans lequel vous présentez votre point de vue en adoptant un style approprié et un ton engagé (700 mots minimum).
**Activité R-1**
**Préparation à l’épreuve écrite**
Compléter le tableau suivant à l’aide de vos notes.
| **Chirurgie esthétique** | **Chirurgie reconstructrice** | **Chirurgie réparatrice** |
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| **Explications** | Chirurgie visant à améliorer l’apparence physique selon les désirs du patient, même si l’anatomie est normale. | Chirurgie visant à reconstruire des parties du corps perdues ou endommagées en raison de maladies, d’accidents, ou de malformations congénitales. | Chirurgie visant à réparer des défauts ou des dommages causés par des accidents, des infections, ou des malformations congénitales. |
| **Avantages** | — Amélioration de l’apparence physique
- Augmentation de la confiance en soi
- Correction d’imperfections ressenties
- Restauration de la fonction et de l’apparence physique après un traumatisme
- Amélioration de la qualité de vie
- Réintégration sociale plus facile
- Réparation de défauts et de dommages
- Amélioration de la fonction et de l’apparence physique
- Soulagement psychologique et social
- Risques de complications physiques (hémorragie, infection, cicatrice
- Complications psychologiques (dépendance, faible estime de soi)-
- Coût élevé et résultats parfois insatisfaisants
- Risques liés à l’anesthésie et à la chirurgie
- Processus souvent long et douloureux
- Coût élevé et nécessité de multiples interventions
- Risques similaires à ceux de la chirurgie reconstructrice
- Processus de guérison long et douloureux
- Possibilité de complications et de résultats insatisfaisants
Épreuve écrite
**La chirurgie plastique : entre nécessité et quête de perfection**
La chirurgie plastique regroupe la chirurgie esthétique, la chirurgie reconstructrice et la chirurgie réparatrice. Ces pratiques médicales sont au cœur de nombreux débats, oscillant entre nécessité médicale et quête de perfection. Chaque type de chirurgie plastique présente ses avantages et ses inconvénients, et leur utilité peut varier en fonction des situations. Alors, la chirurgie plastique est-elle vraiment nécessaire ou s’agit-il d’une simple quête de beauté superficielle ?
**La chirurgie esthétique : une quête de perfection physique**
La chirurgie esthétique est souvent perçue comme une pratique visant à répondre aux désirs de perfection physique. Elle permet de corriger des imperfections ressenties par les patients, améliorant ainsi leur apparence physique et leur confiance en eux. Qu’il s’agisse d’une rhinoplastie pour affiner le nez, d’une augmentation mammaire ou d’un lifting facial pour effacer les signes de l’âge, la chirurgie esthétique offre une solution pour ceux qui souhaitent modifier leur apparence.
Cependant, cette quête de perfection n’est pas sans risques. Les complications physiques, bien que rares, peuvent être graves : hémorragies, infections, cicatrices indélébiles, et réactions allergiques aux anesthésiants. De plus, les conséquences psychologiques peuvent être tout aussi importantes. La dépendance à la chirurgie esthétique, la déception face à des résultats insatisfaisants, et la perte d’estime de soi sont des problèmes récurrents. Il est crucial que les patients soient pleinement informés des risques avant de se lancer dans une telle démarche.
**La chirurgie reconstructrice : une nécessité médicale**
La chirurgie reconstructrice, quant à elle, revêt une importance médicale indéniable. Elle intervient pour réparer des dommages corporels causés par des accidents, des maladies ou des malformations congénitales. La première greffe de visage réalisée en 2005 par les professeurs Devauchelle et Dubernard a marqué une avancée significative dans ce domaine, offrant une nouvelle vie à une femme défigurée par un chien.
Cette forme de chirurgie permet non seulement de restaurer la fonction physique, mais aussi de redonner confiance et dignité aux patients. Les personnes ayant subi des mutilations ou des pertes de substance corporelle peuvent retrouver une vie normale grâce à la chirurgie reconstructrice. Les progrès réalisés au fil des années ont permis d’améliorer considérablement les techniques et les résultats, faisant de cette pratique un véritable espoir pour les victimes de traumatismes.
Cependant, la chirurgie reconstructrice n’est pas exempte de risques. Les interventions sont souvent longues, douloureuses, et nécessitent plusieurs étapes. Les risques liés à l’anesthésie et aux complications post-opératoires sont également présents. Malgré cela, l’importance de cette chirurgie pour la réhabilitation physique et psychologique des patients ne peut être sous-estimée.
**La chirurgie réparatrice : une solution aux défauts corporels**
La chirurgie réparatrice se situe à mi-chemin entre la chirurgie esthétique et la chirurgie reconstructrice. Elle vise à réparer des défauts corporels causés par des accidents, des infections ou des malformations congénitales. Par exemple, la réparation d’une fente labio-palatine (bec de lièvre) ou la correction d’une déformation causée par une infection sont des interventions courantes dans ce domaine.
Cette chirurgie permet de corriger des anomalies qui peuvent nuire à la fonction physique et à l’apparence, offrant ainsi une meilleure qualité de vie aux patients. Les avantages psychologiques et sociaux sont également notables, car les patients peuvent se réintégrer plus facilement dans la société sans souffrir de stigmates.
Les inconvénients de la chirurgie réparatrice sont similaires à ceux de la chirurgie reconstructrice. Les interventions peuvent être longues et douloureuses, avec des risques de complications post-opératoires. Le processus de guérison peut être difficile, nécessitant souvent plusieurs interventions pour obtenir des résultats satisfaisants.
**Conclusion**
En somme, la chirurgie plastique, qu’elle soit esthétique, reconstructrice ou réparatrice, joue un rôle important dans notre société. Si la chirurgie esthétique peut parfois être perçue comme une quête superficielle de perfection, elle offre néanmoins des bénéfices psychologiques significatifs pour ceux qui en ressentent le besoin. La chirurgie reconstructrice et réparatrice, en revanche, sont des pratiques médicales essentielles pour restaurer la fonction et l’apparence physique des patients victimes de traumatismes ou de malformations.
Il est important de reconnaître les avantages et les inconvénients de chaque type de chirurgie plastique, et de s’assurer que les patients soient bien informés des risques avant de prendre une décision. La chirurgie plastique, loin d’être un simple acte de beauté, peut transformer des vies et offrir une nouvelle chance à ceux qui en ont le plus besoin.
